La Partouze Entre "Copines"

J'étais allé dormir chez une amie, Marie, une belle brune à la peau bronzé. Il y avait aussi Anaïs, brune elle aussi mais à la peau très blanche, Mathilde, une petite blonde toujours très souriante, et Laure, pas très grande, le teint halé, des lèvres pulpeuse, les cheveux châtains.
Et moi, Mathieu, un petit blond.
J'étais très proche de ces filles, elles me considéraient comme leur "ami gay" (même si je suis bisexuel).
Nous étions donc dans la chambre de Marie entrain de discuter tranquillement en écoutant Noir désir.
Au fil de la soirée, la température monta nettement.
Laure qui était sur l'ordinateur tapa l'adresse d'un site porno et mis une vidéo lesbienne.
On imagine mal une fille regarder un porno, encore moins se masturber, et pourtant il y en a surement beaucoup!
Mes copines en tout cas étaient de vraies petites coquines.
A l'écran, deux jeunes filles se léchaient en 69. Je commençais à avoir une érection et comme j'étais en caleçon, les filles ne manquèrent pas de le remarquer.
Marie posa sa main sur mon entrejambe et avec un petit sourire commenta :
"Ça t'excites deux filles qui se font un cuni?"
J'étais de plus en plus excité.
Marie ne portait qu'une légère nuisette noire.
Elle souleva le tissu sensuellement et me montra sa chatte, rasé en ticket de métro.
"Et ça, ça t'excites?"
Laure éclata de rire, Marie remis sa nuisette en place et se pencha vers elle. Elles s'embrassèrent passionnément sous mon nez.
Marie continuait de me caresser à travers mon caleçon.
Anaïs qui étaient en sous-vêtement décréta qu'il faisait trop chaud et enleva son soutien-gorge libérant ainsi ses deux gros seins.
Aussitôt, la main de Mathilde se jeta sur l'un des seins et le caressa langoureusement.
Mathilde avait une petite culotte blanche et un T-shirt blanc également. Sa culotte était désormais transparente et on devinait sa jolie petite chatte entièrement rasé.


Laure quitta les lèvres de Marie pour allait dévorer l'autre sein d'Anaïs.
Marie s'agenouilla face à moi et avec toujours son petit sourire de coquine, libéra mon sexe. Elle commença par me branler lentement en faisant des mouvements très amples, puis elle lécha mon gland, titilla le frein avant d'avaler ma bite et de la pomper frénétiquement.
Sa langue voyagé tout le long de ma verge, j'étais aux anges.
Je me tournais vers les autres filles pour voir où elles en étaient.
Anaïs se faisait lécher les seins par les deux autres cochonnes.
Mathilde avait la culotte entièrement trempé désormais et de la mouille coulait le long de ses cuisses.
Laure descendit vers l'intimité d'Anaïs et après quelques coups de langue par dessus son string, lui baissa pour enfoncer sa langue dans la chatte toute lisse et abondamment humide.
Mathilde continua à caresser les lourds seins d'Anaïs tout en lui roulant une magnifique pelle.
Marie me branlait à toute vitesse en me léchant et aspirant les couilles avant de revenir gober ma queue.
Cette scène dura quelques minutes, jusqu'à ce que je dise à Marie:
"Attention je sens que je viens!"
Elle arrêta sa splendide fellation et appela Laure:
"Vient le faire jouir sur ton cul ma pute"
Laure abandonna le vagin d'Anaïs (Mathilde s'empressa de prendre le relai) et colla son cul contre ma bite, elle avait gardé son boxer. Elle me masturbait entre ses fesses à travers son boxer et en quelques secondes, je lâchais mon sperme sur ses fesses, maculant le bleu foncé de son boxer de long jet blanc. Elle se retournant et s'occupa de nettoyer ma queue.
Marie hotta le boxer de Laura, le déposa sur le lit et prit une photo avec son portable des traces de ma jouissance.
"Le résultat de ma première pipe avec Mathieu!"
On éclata de rire.
Mathilde s'activait à quatre patte, le cul en bombe, sur la chatte d'Anaïs, mais je voilais que sa petite moule restait insatisfaite.

Je m'approchais donc de ses fesses, et retirais sa culotte.
"Tiens Laure sent moi ça!"
Elle respira la culotte détrempée de Mathilde.
"Mmmm...Ça c'est de la mouille de petite coquine!"
Marie récupéra la culotte avec les dents, enlaça Laure et elles tombèrent à la renverse sur le lit. Marie se précipita sur le vagin de Laure qui en écartant les jambes dévoila sa chatte toute poilue.
J’enfonçais ma langue dans la moule plus qu’humide de Mathilde qui gémit de plaisir. Je la léchais rapidement du bout de la langue puis rentrait complètement.
Je lui mis un doigt, puis deux et je continuais de la léchais. Elle mouillait vraiment beaucoup ! Je n’avais jamais vu ça ! Mon visage était tout trempé de cyprine.
Mathilde infligeait le même traitement à Anaïs, elle avait trois doigts dans le vagin de cette cochonne.
Au bout d’un certain temps, ma bite était de nouveau en érection, et bien dure !
Je présentais mon gland à l’entrée de la chatte de Mathilde et d’un coup sec, je la pénétrais. Ce qui la fit hurler de bonheur.
Je m’agrippais à ses hanches pour mieux lui défoncer la chatte.
« T’aimes sentir ma bite chaudasse ?! »
« Oui ! Vas-y plus fort putain ! »
Mathilde était habituellement une fille sage et polie, qui ne disait que très peu de mot vulgaire.
Mais elle a beaucoup de vice caché…
« Vas-y éclate moi la chatte connard ! Aaaa…Aaaa…AAAAAh !!! »
« Tu prends la pilule ? »
« Oui ! Lâches toi dans ma chatte de petite pute ! »
Ce langage venant de la bouche de Mathilde fut sans doute le coup de grâce qui déclencha mon éjaculation.
Je vidais mes couilles dans sa petite moule étroite.
Une fois sortis de son intimité désormais souillé, Anaïs se jeta sur ma bite pour avaler le reste de sperme tandis que Marie alla recueillir mon jus dans la chatte de Mathilde.
Anaïs me suçait comme une folle furieuse ! Je n’avais même pas le temps de me reposer !
Elle me prit entre ses gros seins et me masturba tout en léchant mon gland quand il s’approchait un peu trop de sa langue.

Marie embrassa Laure pour partager mon jus, je voilais le foutre couler sur leur menton, mais chacune s’occupait de nettoyer le visage de l’autre.
Mathilde s’allongea les jambes bien écarté sur le lit, Marie fouilla dans son placard et en sorti une large panoplie de jouets que je connaissais déjà. Il y avait un petit vibro classique (qui se logea immédiatement dans la chatte encore gluante de foutre de Mathilde), un gros gode rose, un gode plus petit, un stimulateur anal, un canard vibrant, et une petite nouveauté trois godes ceintures de taille différente, un de quinze centimètre, le second de vingt centimètre et vingt cinq pour le troisième. La nouvelle fantaisie de Marie sans doute !
Je lui demande, assez étonné :
« Ton mec aime bien que tu l’encules ? »
Marie rigole en s’armant du gode ceinture de vingt centimètre.
« Ouais il adore ça ! Il a envie de se faire une vrai bite d’ailleurs mais faut que je trouve un mec qui est d’accord »
Je la regarde avec insistance.
Elle me sourit :
« Pourquoi pas… »
Laure se met à quatre pattes sur le lit, Marie enfonce sa langue dans son anus, lui écarte bien les fesses puis la pénètre petit à petit avec le gode.
Je sens à mon tour un doigt s’enfoncer dans mon anus.
Anaïs qui continu à me sucer à passer une main sous mes couilles pour accéder à mon petit trou.
C’est là qu’elle eut une idée:
« Si on se sodomisait toutes à la chaîne ? »

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